A paraître (3 mai 2024)
Inspiré d’une histoire vécue, Soleil Rouge sur Berlin est le récit d’une étonnante histoire d’amour de deux prisonniers de l’Allemagne nazie.
Camp de Küstrin, Allemagne, 1942. Jean est un prisonnier de guerre français. Tania, Ukrainienne, a été déportée. Tous deux survivent dans ce camp de travail. Leur rencontre signe le début d’une histoire d’amour qui les mènera à l’évasion puis au retour en France où ils se marieront et fonderont une famille. Tania ne reverra l’Ukraine que 56 ans plus tard, en 1998.
A propos de « Carmen&Emilio » (2018)
J’ai mis un peu, sinon beaucoup de temps, non à écrire mon ressenti à la lecture de votre livre, mais à dépasser ma retenue à vous dévoiler mes mots, si simples pourtant et que je laisse couler dans mes veines afin de m’en nourrir.
J’ai eu un plaisir immense à découvrir les choix de ce couple, enlacé à l’histoire, moi qui crois que l’absolu de la vie c’est d’être deux dans toute chose.
J’ai aimé immédiatement Emilio, cet homme qui fait l’histoire, la « grande », comme on la nomme. Et grâce à vous, grâce aux pas que vous à faits dans son sillage j’ai pu apercevoir ce qu’engagement veut dire, pour qu’aujourd’hui, nous tous, nous puissions vivre libres.
Je n’oublie pas Carmen, comment le pourrais-je!, elle qui représente « LA FEMME », dans toute sa splendeur, elle qui a su tisser un fil d’Ariane entre Amour et Liberté, sans vouloir perdre, ni l’un, ni l’autre.
Merci de ce temps, que j’appelle le temps long, puisqu’il est le temps de la lecture, à vos mots qui sont cadeaux de vie, car c’est en eux que je puise ma certitude de vouloir vivre, tout simplement.
Au plaisir de vous lire à nouveau et dans cette attente, je me permets de vous embrasser.
Nadou. »
A propos de « Rosa ou les fantômes du passé »
« C’est dans la vie de Rosa Szlejen, née à Limoges en 1927, morte à Saint-Yrieix-la-Perche en 2016, que Christian Bélingard s’est plongé, nous délivrant une saisissante biographie placée sous les couleurs de l’admiration et de la tendresse pour une femme juive happée dans la tourmente de l’extermination des siens. »
Véronique Bergen
